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DANSE

La Traversée D’Héloïse Rémy
Danses invisibles - O.D.N.I

 

La Traversée d’Héloïse Rémy 0
Spectacle : Dimanche 30 à 15h30
Événement participatif, ouvert au public :
Générale : Dimanche 30 de 13h30 à 15h00
Répétitions
Jeudi 27 de 13h à 15h30
Vendredi 28 de 13h à 15h30 et de 19h à 21h
Samedi 29 de 13h à 15h30

Chorégraphe originaire de France, Héloïse Rémy s'est installée au Québec en 1996. Ses premières oeuvres ont été créées à Montréal : du Pareil au même en 99, le monde est petit en 2001 et Casatierra en 2005. La Traversée est née en 2006. Cette chorégraphie pour un groupe d'humains a voyagé en France et en Équateur pour se rendre prochainement au Japon. À l'écoute du milieu environnant, la danse évolue à l'image d'un banc de poissons.

Pour l'État d'Urgence, une série de répétitions a débuté avec les jeunes de Chez Pop’s puis sera ouverte à tous ceux qui souhaitent y participer (danseurs professionnels, amateurs, enfants, ados, adultes, gens de la rue, gens de tous horizons) au son des tambours, pour danser à l'unisson une séquence répétée comme un mantra. Soyez-en !

Plusieurs répétitions sont offertes au public voulant faire partie de La Traversée à partir du 4 novembre, puis dès le jeudi 27 à la Place Émilie Gamelin pour la présentation du dimanche 30 à 15h30.
Départ autour du feu…
S'inscrire via le site www.lamadeo.com

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Danses invisibles
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O.D.N.I. (Objets Dansants Non Identifiés)
Léna Massaini et Katya Montaignac

Jeudi 27, vendredi 28 et samedi 29 à 15h30
Projet chorégraphique de Katya Montaignac qui intervient directement dans le paysage urbain. Il s’agit d’introduire des tableaux dansants dans le « décor » de la vie quotidienne. Les performers s’infiltrent ainsi dans la foule afin de créer des scènes quasi-surréalistes à partir d’interventions simples réalisés en groupe et à l’unisson. Silencieux et lents, ces tableaux opèrent un contrepoint par rapport au rythme de l’activité citadine. Impliquant une dizaine d’interprètes, chaque séquence propose une chorégraphie qui s’inscrit discrètement dans l’espace public comme une série de danses invisibles. Seuls les passants attentifs ou curieux remarquent ce qu’il se passe. Les autres, préoccupés et pressés, traversent les différents tableaux dans la plus grande indifférence et deviennent alors, malgré eux, des figurants.